Chief happiness officer
Formation Marketing & Communication Digitale
Présentation du métier de chief happiness officer
Comme son nom l’indique, le chief happiness officer (ou CHO) a pour mission d’assurer le bien-être des salariés au travail : une tâche qui n’est pas si anodine qu’elle peut paraître au premier abord. En effet, qui dit salarié heureux, dit salarié productif ; qui dit salariés heureux, dit équipe de travail soudée et, là encore, plus productive.
Et si le bonheur des employés était la clé du succès de l’entreprise ? Fort de cette conviction, mais aussi de son enthousiasme communicatif et de sa capacité à mettre en place des stratégies d’épanouissement, le chief happiness officer est la nouvelle figure montante des entreprises.
Ce métier vous intéresse ? YNOV Campus, école de communication, vous propose un cursus de formation spécifique.
Les études pour devenir chief happiness officer
Véritable pont entre les salariés et le contexte dans lequel ils évoluent, le chief happiness officer doit être formé sur deux niveaux. D’une part, il a tout à gagner à acquérir des connaissances solides sur le milieu de l’entreprise. Mieux il saisit les ressorts internes de cette dernière, mieux il peut agir sur les conditions de travail des employés. D’autre part, le futur chief happiness officer bénéficie de formations plus spécifiquement orientées vers les ressources humaines, qui lui permettent de développer son empathie naturelle et de mieux cerner les besoins des salariés.
Une école de communication qui prend en compte aussi bien les exigences propres au monde de l’entreprise que les facteurs humains et relationnels offre la formation idéale pour devenir chief happiness officer. Un niveau minimum de bac +3, soit un bachelor marketing et communication, est requis pour exercer le rôle de chief happiness officer. Toutefois, rien ne vous empêche de continuer jusqu’au mastère afin d’affiner vos compétences dans le domaine du marketing, de la communication ou du digital.
Les compétences à développer pour devenir chief happiness officer
Les différentes formations permettant de devenir chief happiness officer vous permettent de développer des compétences en :
- Médiation entre les différents membres de l’équipe, entre l’équipe et son directeur, etc.
- Analyse des facteurs pouvant compromettre ou favoriser la bonne entente des employés, des situations vécues comme positives ou négatives dans la vie de l’entreprise, des éléments ayant un impact direct sur la productivité des travailleurs
- Stratégie et planification, afin de créer des outils adaptés aux différentes problématiques et de mettre des solutions en place
- Maîtrise des outils de communication, en particulier les outils digitaux (logiciels, réseaux sociaux, etc.).
Quel bac pour préparer une formation Ynov pour devenir chief happiness officer ?
Détenir un baccalauréat général, en particulier de série ES (sciences économiques et sociales), est idéal pour intégrer une formation de chief happiness officer. Il est aussi possible de disposer d’un baccalauréat professionnel ou technique en marketing et communication.
Que faire après être devenu chief happiness officer ?
Après des études pour devenir chief happiness officer, vous pouvez postuler à des postes de CHO pour devenir responsable du bien-être d’une équipe de salariés. Vous pouvez aussi postuler à d’autres postes dans le domaine de la communication d’entreprise et de la gestion des ressources humaines.
Les métiers après chief happiness officer
Après avoir exercé le métier de chief happiness officer, plusieurs opportunités peuvent s’offrir à vous, notamment des postes de :
- Community manager, si vous avez l’étoffe d’un leader en plus de vos qualités de communicant et de votre connaissance du monde de l’entreprise
- Coach en communication, si vous préférez mettre votre vie professionnelle au service d’une activité freelance et non pas d’une, mais de plusieurs entreprises
- Consultant en marketing au sein d’une société de conseil, afin d’aider des professionnels à améliorer leurs stratégies commerciales ou relationnelles
Les diplômes utiles pour une carrière comme chief happiness officer
En vue de faire carrière comme chief happiness officer, les diplômes suivants s’avèrent utiles :
- Bachelor en marketing et e-business, pour développer vos propres outils de communication tout en acquérant des connaissances utiles pour gérer des équipes en télétravail
- Bachelor en communication et création de contenus, pour apprendre à manager une équipe, à concevoir des supports de communication et à mettre en place des stratégies de communication
- Mastère communication et digital media manager, pour devenir un expert des réseaux sociaux
- Mastère en entrepreneuriat, start-up et innovation, si vous avez dans l’idée de créer votre propre agence de coaching.
Le marché de l’emploi pour chief happiness officer
Née en Californie à la fin des années 2010, la figure de chief happiness officer fait ses débuts en France. Pour l’instant, elle est plébiscitée par certaines entreprises faisant de la santé mentale de leurs employés une priorité. Le télétravail pose de nouvelles problématiques aux salariés qui troquent leurs problèmes de transport contre d’autres difficultés liées au travail à distance. Burnout, dépression, etc., quel que soit le nom que l’on donne au mal-être au travail, le prévenir plutôt qu’avoir à le guérir est un parti pris par un nombre croissant d’entreprises.
Chief happiness officer est assurément un métier d’avenir ! En freelance, les entreprises qui recourent au coaching bien-être de leurs employés sont de plus en plus nombreuses.
Le salaire d’un chief happiness officer
En début de carrière, le CHO gagne 40 000 euros bruts par an. Au fil du temps, en fonction de ses expériences et de la taille de l’entreprise qui l’emploie, il gagne jusqu’à 100 000 euros par an. En coaching freelance, les gains sont très variables : ils dépendent du portefeuille de clients et des tarifs appliqués (individuels, en groupe, contrats à l’année ou prestations occasionnelles, etc.).
Les types d’entreprises qui recrutent des chiefs happiness officers
Il s’agit surtout de petites et moyennes entreprises, ou de start-up spécialisées dans des domaines aussi divers que l’e-commerce, l’événementiel, le tourisme ou encore la conciergerie, l’informatique, l’immobilier.